Selon les lois tadjikes, les banques étrangères sont autorisées à travailler à partir de leur capital propre et même à acheter des actions des banques locales. Mais la Banque centrale se refusait à leur accorder des licenses de peur que les banques tadjikes ne se fassent engloutir par des groupes étrangers plus solides.

Le Kazakhstan, qui dispose de plus de 20% des réserves d’uranium de la planète, s’est fixé pour objectif d’en devenir d’ici 2010 le premier producteur au monde, devant l’Australie et le Canada.

M. Berdymoukhammedov, dont le pays, une ex-république soviétique d’Asie centrale, entretient des liens énergétiques étroits avec la Russie, a rencontré son homologue russe Vladimir Poutine.

Le Certificat de conformité GOST-K est le document d’autorisation le plus courant au Kazakhstan. Certificat de conformité Gost R est généralement requis sur le marché russe.

Au-delà des opportunités du secteur énergétique particulièrement attractif, la diversification des économies de la zone et les réformes en cours font des pays de l’Asie centrale et du Caucase, en particulier l’Azerbaïdjan, le Kazakhstan et l’Ouzbekistan, des marchés en émergence pour les entreprises françaises pour les 10 prochaines années.

Le nouveau président turkmène a inauguré à Achkhabad deux bâtiments universitaires construits par Bouygues, le géant français du bâtiment, pour un budget total d’environ 80 millions de dollars.

Kiev et Astana vont intensifier leur coopération pour pouvoir transporter du pétrole kazakh vers l’Europe via l’oléoduc ukrainien Odessa-Brody, selon un accord conclu à Kiev à l’occasion d’une visite du président kazakh Noursoultan Nazarbaïev.

Par sa croissance économique l’Azerbaïdjan tient la première place au monde, avec 26% en 2005, 35% en 2006, et un doublement du PIB attendu dans les trois prochaines années, a précisé M. Aliev.

La France et l’Azerbaïdjan ont signé mardi plusieurs accords industriels, scientifiques et culturels à l’occasion de la visite d’Etat d’Ilham Aliev, la première d’un président azerbaïdjanais en France.

Fort de la dépendance de la Russie envers son gaz, le régime d’Achkhabad s’efforce en permanence de relever ses prix, après avoir mis fin en mai 2005 à un système de troc de son gaz contre des marchandises russes. Le géant russe Gazprom dépend de ce gaz pour assurer ses livraisons, notamment vers l’Europe.